Neal P² Kendrikx

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Libre

L’enfance, l’adolescence ainsi que la vie avant 2017 est tout à fait libre.  

Il a intégré les loups et est le bras droit du maitre. C’est lui qui s’occupe de découper les cadavres et de les cuisiner. Il est le maitre dans l’art. Voici plus d’informations sur la relation entre lui et Chayenne : (je l’ai écrit à la première personne afin que vous puissiez plus vite vous intégrer dans le personnage)

Je l’ai trouvé dans la colonie Mercure il y a presque deux ans de cela. Elle était mince, trop maigre. Alors j’ai décidé de la garder et de la nourrir comme on nourrit un petit cochon pour le rendre bien gras et le tuer par la suite. Mais elle ne voulait pas manger. Je me suis arraché pas mal de cheveux avec elle. Elle maigrissait de plus en plus, refusant de manger de la viande. Alors j’ai fini par changer de tactique. Je me suis montré gentil. Je lui ai cuisiné des légumes. Finalement elle a commencé à manger. Avec le temps j’ai commencé à lui cuisiner plusieurs plats avec de la viande et finalement elle a commencé à les manger. Elle reprit des forces et ca me rendit heureux. Mais je m’étais attaché à elle, comme on s’attache à un animal de compagnie. J’ai refusé de la tuer, je l’ai protégé quand on a voulu la tuer. J’ai assuré en silence que je finirais pas la faire une des nôtres. Et j’ai finit par y arriver. Elle me voyait comme son protecteur, elle avait besoin de réconfort, de force et d’amour. Je le lui ai donné et très vite la douce petite femme est devenue une vraie lionne.

Bien que j’aie toujours prétendu qu’il n’y avait qu’une relation père-fille entre moi et Chayenne, l’alcool me fit croire tout le contraire. C’était un de ces jours ou on buvait des litres de bière trouvés. Et elle se tenait contre le mur du salon, une bière à la main. L’alcool me poussait à agir, et avant même que mon cerveau s’en rende compte, je l’avais déjà plaqué contre le mur, la bouteille dans sa main fracassait le sol mais je m’en fichais bien. Mes lèvres rentraient en collision avec les siennes  et étrangement elle semblait répondre à mon baiser. Quelques instants plus tard je l’avais déjà entrainé dans ma chambre, sur le lit. Cette nuit-là on fit l’amour comme des affamés, comme des bêtes. Et le jour suivant, je me demandais si elle avait été poussée par l’alcool ? Je ne tardais pas à vouloir être certain. Je n’ai jamais aimé les choses compliquées alors quand elle se réveillait dans mes draps. « Bonjour beauté… alors l’alcool a fini par te pousser dans mon lit ? » Je l’observais avec attention mais elle me surprit en me souriant, montant sur moi. Sa chaleur contre la mienne, les souvenirs de la nuit… oh oui, je ne pouvais que m’exciter. Et à ma grande surprise elle prit mon sexe en elle. Montant su rmoi telle qu’on monte un cheval, elle me murmurait doucement à l’oreille. « Et maintenant ? Tu penses que je suis toujours sous l’effet de l’alcool. » Je souris et passais ma main sur son visage avant de l’embrasser.

Depuis ce jour-là, elle glisse tous les soirs dans mon lit. Je ne sais pas si c’est l’amour ou si c’est autre chose. Mais je ne lui pose pas de question. Probablement que j’ai tout simplement peur de me rendre compte que je ne suis qu’une distraction pour elle. Il y a une fameuse différence d’âge entre nous. Elle est jeune, doit encore tout apprendre alors que la vie m’a déjà marqué… Mais ca n’empêche pas que j’ai besoin de sa présence près de moi, l’avoir toutes les nuits dans mon lit. Je l’aime, c’est sure. Et celui qui ose la toucher ou lui faire du mal j’en ferais de la chair à pâté pour chats.